Pendant le mois de mars Dédales avec la Cité internationale de la bande dessinée organise des ateliers pédagogiques. Au menu, confection de masques!
Cet Atelier se déroule tous les samedi du mois de mars, sur inscription auprès de du musée de la Cité, pour les enfants de 6 à 12 ans.
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DEDALES en tournée
Site en reconstruction
Comme vous aurez pu le constater notre site fait peau neuve, je vous pris donc d’excuser les éventuels problèmes d’affichages qui seront réglés au plus vite.
Posters !!!
Expo Dédales
Eh oui, Dédales commencera fort 2012 avec une exposition reprenant des planches extraites de la revue ainsi que des inédits. Cela se passe au café-restaurant La Grande Vie à Angoulême, 16 rue des 3 notre-dame et un café-vernissage se fera le vendredi 27 janvier à 10h30. De plus à cette même période aura lieu le Festival international de la BD d’Angoulême, et nous serons présents en 2 endroits ! Rendez-vous dans la bulle “le nouveau monde” place New York et dans l’espace du Festival OFF, 10 place du palet. L’occasion de nous rencontrer et de découvrir la version Papier de notre revue, ainsi que de nombreuses autres surprises !
Paix et prospérité pour cette nouvelle année !
Kévin
Fada
Cette BD est adaptée d’un scénario de Stéphanie Cadoret, réalisée dans le cadre de la revue Tangram éditée en janvier 2012 par l’association Café Creed. A l’origine, l’histoire a été écrite dans lors d’ateliers d’écriture où nous étions un petit groupe d’auteurs à écrire des courtes histoires sur des contraintes communes. Puis lorsqu’un bon stock d’histoires fut réuni, nous avons convenu de les adapter en BD et d’en faire un recueil. Cette histoire m’a plu car elle aborde le fantastique d’une manière différente, à la fois en référence à l’univers des fées et farfadets, mais aussi en dehors de ses représentations classiques. De plus les effets du fantastique ne sont pas gratuits mais en prise direct avec le récit et sa réalité, c’est juste le petit quelque chose qui va prendre de l’ampleur sans pour autant verser dans l’excès “d’effets spéciaux”. En bref c’est un récit fantastique qui se veut modeste, tout en laissant une place à l’imaginaire qu’il provoque. Et puis dessiner une forêt dans une cuisine, c’est plutôt cool !
Espace thématique
A l’instar de la revue, vous trouverez ici un espace consacré à des projets proposés par un ou plusieurs des membres. C’est un lieu d’échange et de concertation ou naîtront peut être les futures éditions de Dédales.
C’est aussi un lieu ou l’on souhaite voir intervenir les simples visiteurs du site, par leurs remarques et commentaires.
A suivre…
Dédales lauréat défi jeune !
Lundi 7 novembre, nous étions 4 membres de Dédales a passer devant la commission du défi jeune à Poitiers, qui accorde une aide financière pour des projets exigeants menés par des jeunes gens comme nous.
Et nous avons eu le plaisir de nous voir accorder l’aide demandée dans son intégralité, ce qui va nous permettre de publier le n°1 de notre revue de manière optimale !
Alors c’est peu de dire que l’on est grandement ravi, et très enthousiastes pour la suite des évènements !
Avant première !
Parcourez les pages de la revue dédales n°1, dès maintenant!
La sortie de l’ouvrage sur du beau et doux papier est prévue mi-janvier 2012, vous pourrez alors le commander depuis la boutique ou venir nous rendre visite au festival international de la bande-dessinée d’Angoulême sur le stand Magélis des jeunes auteurs d’Angoulême.
Cliquez ici pour voir la revue ou rendez-vous dans la rubrique “revue Dédales”.
Du nouveau sur le site (Octobre 2011)
Les auteurs de Dédales ont publié de nouveaux travaux.
Allez y jeter un oeil, il vous en remercira (votre oeil, enfin si il le pouvait, il le ferait sans doute):
Cas de conscience
Cette BD est adaptée d’un scénario de Tony Neveux, sur un principe de philosophie autant que de rhétorique entre le bien, le mal et le faire. J’ai choisi d’en faire un récit muet où chaque page représente une période différente de la vie d’un garçon. Le dessin très centré sur l’expression et la gestuelle, auquel s’ajoute des gammes de couleurs très ciblées et signifiantes, sont autant de points que j’ai eu l’occasion d’expérimenter et de confirmer en travaillant sur cette BD.
Interview radio
Il y a quelques temps, avec Jean-Baptiste et Robin, nous sommes allés aux studios de la radio Attitude à Angoulême pour enregistrer une interview dans laquelle pour avons eu l’occasion de présenter notre collectif et ses projets. Cette initiative est dû en premier lieu au CIJ d’Angoulême (centre d’information jeunesse) qui accompagne et promeut les projets de jeunes comme nous par son dispositif Ramdam 16.
L’interview révèle la naissance du projet et son développement :
À voir
Voici les liens des auteur‧ices de Dédales Éditions :
Le site de Mathieu, son Instagram et sa boutique
Le site d’Ugo Bagnarosa et son Instagram
La Chaîne Youtube des frères Chantal, ainsi que leur Instagram
L’Instagram d’Éloïse Oger
L’instagram de Mai-Li
L’instagram de Léa German
L’instagram de Félix Auvard
L’instagram de Max Baitinger
L’instagram de JB Bazin
L’instagram de Valentin Szejman
Le blog de Marie Maillos
En bonus les sites des amis :
Les éditions Polystyrène
Les Siffleurs éditions
Les éditions Les Machines
Oeuvres collectives
Ici seront présentés les travaux collectifs proposés par les membres de l’association, du moins ceux ne relevant pas des thèmes propre à la revue. Le principe est que chaque auteur ayant une idée, un thème , un projet lui tenant à cœur, peut solliciter l’aide du collectif, que ce soit une aide logistique, structurelle ou une aide à la création. Cela peut aussi se présenter comme un projet qui requiert le concours d’autres membres du collectif, afin de mettre sur pied une collaboration où chacun aura apporté son univers, son expérience et ses compétences.
Ainsi cette partie du site se verra actualisée en fonction des projets qui seront proposés, mais sans récurrence régulière.
Figure impossible
Le soliloque d’Anton Ratsiviët
Je ne sais plus exactement comment m’est venu cette histoire. Disons que je suis arrivé sur Dédales assez tardivement: je m’étais déjà engager auprès de Kevin à réaliser la couverture – et uniquement la couverture. Pour être tout à fait honnête, je n’étais pas très emballé par le thème du labyrinthe et je crois que préférais griffonner mes histoires dans mon coin plutôt que de travailler avec des amis. Il aura fallu que je vois les travaux de Fanny, Éloïse, Kevin, Mathieu et Robin pour que je réalise à quel point j’avais tord de tourner le dos à ce projet.
Cette courte histoire nous invite à suivre les élucubrations d’Anton Ratsiviët, un homme d’âge mûre, littéralement perdu dans le labyrinthe de ses pensées – confuses pour la plupart. Bien entendu, ici le labyrinthe est une métaphore de la fragilité l’esprit d’Anton, et les murs qui se dressent autour de lui sont uniquement bâtis par ses obsessions et ses regrets.
Il s’agissait pour moi de faire du flux de conscience, un procédé fréquent en littérature et qui consiste à représenter le fonctionnement mental d’un personnage pour mieux donner son point de vue, ainsi que la façon dont il capte le monde qui l’entoure. L’enjeu ici est dans la manière de reproduire les pensées du personnage via une séquence d’images dessinées, et par là même à faire un choix, entre peindre le comportement d’un personnage ou bien révéler son intériorité.
En ce sens, le terme « flux de conscience » me semble approprié à un médium mixte comme la bande dessinée. Bien plus que « monologue intérieur », et précisément parce qu’il ne désigne pas qu’un phénomène rhétorique. Le pouvoir expressif de la bande dessinée constitue un moyen unique d’exploration du mode opératoire de l’esprit, que ce soit à travers la construction de la page, le dessin et les couleurs, ainsi que dans l’élaboration de ponts entre différentes scènes, sans jamais oublier la psychologie du personnage et de ses interactions.
Je ne sais pas si j’ai réussi à ne serait-ce qu’effleurer la moitié de ces enjeux, mais je peux dire sans regret que j’ai essayé (et que je continuerais d’essayer).
Enfin, je remercie chaleureusement Kévin pour m’avoir proposé de participer à l’aventure Dédales, ainsi que tout les autres membres de l’association.
Boutique
Ici seront prochainement en vente la revue Dedales n°1 (papier), micro-éditions d’auteurs, affiches sérigraphiées ou pas, cartes postales et autres goodies.
Nous sommes toujours à la recherche de partenaires techniques et financier, si vous souhaitez soutenir ce projet, nous vous invitons à cliquer sur le bouton suivant, ou à prendre contact avec les menbres du bureau de l’association Dédales. ici
Nous Contacter & en savoir plus
Contact:
dedales.editions@gmail.com
Qui sommes nous?
Dédales est une association d’artistes et d’auteurs de bande dessinée dont le but est de promouvoir leurs œuvres et d’éditer à l’occasion des projets singuliers.
Le projet, ses objectifs:
> Diffuser et promouvoir le travail de jeunes artistes
> Aller à la rencontre d’un lectorat et partager une approche graphique innovante.
> Réaliser un livre d’art cohérent et exigeant
> Relever un vrai défi de professionnalisation dans le monde de l’édition.
Les éditions Dédales:
L’association Dédales propose une réflexion tant sur le fond que sur la forme d’une édition d’artistes.
Notre démarche est donc d’intervenir tout au long du processus de conception, de réalisation mais aussi de diffusion du projet.
Apporter sa contribution:
Si vous souhaitez soutenir notre projet vous pouvez naturellement rejoindre notre association en prenant contact avec nous, mais vous pouvez plus simplement nous donner un petit coup de pouce financier…
La revue Dédales n°1
Dédales est une revue d’art articulant plusieurs travaux autour d’une même thématique.
Des articles apportent un regard sur le projet, et sur nos réalisations respectives.
Une mise-en-page et un design audacieux viennent valoriser la revue.
Chaque parution présente un thème propre qui génère une dynamique autour de laquelle s’articulent les productions de chaque auteur.
Si vous souhaitez soutenir ce projet ou obtenir la revue papier rdv à la boutique.
Passages
Mon labyrinthe est une forêt d’immeubles. L’histoire se construit comme une errance à travers les bois, ponctuée de courtes phrases. La fillette déambule et fait de curieuses rencontres. Le décor se construit peu à peu, il est à la fois le même et tout autre. Peut-on vraiment s’y retrouver ? Ou faut-il s’y perdre totalement ?
Peu importe la sortie, l’important, est de continuer.
Je voulais l’image comme un cauchemar embrumé ; une lumière noire qui court sur les cases. L’image oscillante est alors floue et de cette imprécision du trait pourra peut-être naître un nouveau sens. Celui que le lecteur choisira.
Dans ma vision du labyrinthe, il pourra voir une recherche, des fausses pistes, des rencontres, des faux pas et des trouvailles, des questions posées … et c’est déjà toute une vie.
Eloïse Oger